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Parcours numérique francophone : un outil de développement des compétences

Le « parcours numérique francophone» réunissant l’Organisation internationale de la Francophonie, l’Office franco-québécois pour la jeunesse, les Offices jeunesse internationaux du Québec, le Bureau international jeunesse de Bruxelles, en partenariat avec la Semaine numérique de Québec, l’AfricaWeb festival d’Abidjan, le Kikk festival de Namur, le Web2Day de Nantes a été officialisé au Ministère de l’Europe et des Affaires étrangères de la France à l’occasion de la 34e session de la Conférence ministérielle de la Francophonie à Paris. 

Dans le cadre de son 50e anniversaire en 2018, l’Office franco-québécois pour la jeunesse (OFQJ) a souhaité développer et mettre en lien les partenariats dans le champ du numérique francophone, à travers ses liens existants avec la Semaine numérique de Québec, le Web2Day de Nantes, l’Africa Web Festival d’Abidjan et le Kikk Festival de Namur.

Cette initiative s’inscrit dans le cadre de l’entente que l’OFQJ a formalisée en 2015 avec l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF) et contribue au renforcement des liens qu’il entretient avec les Offices jeunesse internationaux du Québec et le Bureau international jeunesse de Bruxelles, pour accroître la mobilité internationale des jeunes adultes.

L’objectif de la convention de partenariat est de construire un « parcours numérique francophone ».

Ce parcours réunira sur chaque événement 40 jeunes français, québécois, wallons et d’autres jeunes experts et entrepreneurs de pays francophones. Il vise à consolider les réseaux professionnels numériques à l’échelle de la francophonie, contribuer au développement des compétences des jeunes experts. Cette initiative de renforcement des réseaux économiques et de coopération francophones est soutenue par l’OIF qui saisi cette opportunité pour mener une réflexion avec les partenaires déployer un label sur le numérique et la jeunesse.

Après une phase expérimentale, cette initiative de coopération sera ouverte à d’autres organisateurs d’événements dans le champ du numérique à partir d’un cadre de référence, formalisé par un label qui pourra être décerné à de nouveaux partenaires francophones sous l’égide de l’OIF.

Les signataire en sont Monsieur Adama Ouane, Administrateur de l’Organisation internationale de la Francophonie, Madame Marianne Beseme, Secrétaire générale de l’Office franco-québécois pour la jeunesse en France, Madame Laurence Hermand, Directrice du Bureau international jeunesse de Bruxelles et Monsieur Michel Robitaille, Dirigeant de l’Office franco-québécois pour la jeunesse au Québec et des Offices jeunesse internationaux du Québec.

Les dirigeants des quatre événements numériques francophone que sont la Semaine numérique de Québec, l’AfricaWeb festival d’Abidjan, le Kikk festival de Namur, le Web2Day de Nantes poursuivront le processus de signature de la convention.

La signature de la convention de partenariat s’est déroulée en présence de Madame Lise Thériault, Vice-Première ministre du Québec, Madame Pascale Delcomminette, Administratrice générale de Wallonie Bruxelles International et Monsieur Gaël de Maisoneuve, Délégué aux Affaires francophones au ministère de l’Europe et des Affaires étrangères de la France.

Un temps de mise en valeur de ce partenariat sera organisé lors de la Semaine de la Francophonie en mars 2018 à Paris puis au Sommet de la Francophonie d’Erevan, en Arménie, en novembre 2018.

Le site de l’OFQJ : http://www.ofqj.org

L’Agence du Numérique française publie le baromètre du numérique

Le Baromètre du Numérique est une étude de référence pilotée par l’Agence du Numérique, le CGE et l’Arcep qui permet de mesurer l’adoption par les Français des équipements et étudier les pratiques numériques et de détecter les inégalités d’accès et de compétences qu’elles soient volontaires ou subies afin que la puissance publique puisse anticiper les grandes tendances et mettre en oeuvre une politique favorisant l’appropriation du numérique par tous.

Il ressort du baromètre :

Le numérique toujours plus présent dans la vie des Français

  • Tous les usages progressent, l’administration numérique en tête
  • L’essor fulgurant des smartphones et des usages mobiles
  • La numérisation de la société est également à l’oeuvre dans la sphère professionnelle

mais pas pour tout le monde

  • Des fractures qui persistent
  • La numérisation de la société et l’adoption des outils numériques par une très
    grande majorité de nos citoyens impliquent un apprentissage et une mise à jour
    régulière des connaissances.

La confiance et la sécurité, plus que jamais indispensables

  • Le manque de protection des données personnelles est le premier frein à
    l’usage d’internet
  • manque de sécurisation des paiements en ligne est toujours perçu comme le principal frein à l’achat

En savoir plus :

 

Quand la transformation digitale crée de nouveaux métiers

Quand la transformation digitale crée de nouveaux métiers
Article paru dans Emergence économique

Les métiers traditionnels et le management sont impactés par la transformation digitale qui appelle aussi à l’apparition de nouveaux métiers dans e web et le numérique

La transformation digitale de nos entreprises, administrations et autres organisations en est le miroir, la cause et l’effet.Les métiers traditionnels et le management sont impactés par cette transformation digitale qui appelle aussi à l’apparition de nouveaux métiers, dans le web et le numérique. Ainsi, cette transformation a deux principaux impacts en matière de métiers : la modification des métiers existants et les nouveaux métiers dans les secteurs traditionnel et enfin les nouveaux métiers dans le web et le numérique

Les entreprises qui ont décidé d’entrer dans l’âge numérique ont dû non seulement se doter des outils adéquats mais aussi modifier leur management et transformer certains de leurs métiers, voire recruter de nouvelles compétences.

Ainsi, DSI qui autrefois désignait la Direction des Services Informatiques, aujourd’hui signifie Direction (ou Directeur) des Systèmes d’Information. De décisionnaire, l’informatique est devenue exécutoire, la décision étant transférée au management du système d’information. Le DSI est désormais un manager qui s’il doit posséder une culture numérique peut être dispensé d’être lui-même un informaticien.

A l’heure où le numérique abolit le temps et l’espace, plus que jamais et encore plus demain qu’aujourd’hui, l’information est le fluide vital de l’entreprise. Au DSI de l’organiser.

Un défaut dans l’information et c’est le bug, financier, organisationnel, administratif et/ou opérationnel.

A côté de la DSI se créent aussi des départements numériques et c’est la voie qu’a prise par exemple la Poste de Côte d’Ivoire.

D’un côté, la Direction des services informatiques de la Poste a en charge les ressources informatiques, réseaux, matériels et logicielles de l’organisation tandis que le département numérique a la responsabilité des services commerciaux numériques à destination de la clientèle particuliers et professionnelle et gère la communication digitale – sites web, réseaux sociaux …

Le management est aussi impacté par la transformation digitale.

Enjeu de pouvoir au sein de l’organisation, l’information est désormais accessible au plus grand nombre.

L’organisation s’oriente peu à peu des pyramides de pouvoir vers les réseaux de savoir.

Les postes intermédiaire dont la principale justification étant d’être un relais de l’information et l’organisation du travail, sont remis en cause.

L’information en réseau dans l’entreprise révèle désormais autant les talents que les incompétences et appelle donc les membres de l’organisation vers plus d’exigence le cas échéant.

Cela peut donc amener à une profonde remise en cause des postes, métiers et personnel de l’entreprise.

Nous le voyons, le numérique transforme durablement les métiers existants, appelle de nouvelles compétences et remodèle le management.

Le secteur du numérique et du web a créé de nouveaux métiers. Le Ministère francais de l’Economie propose sur son site web – http://www.metiers.internet.gouv.fr – une classification en six familles de métiers :

Communication et marketing

Métiers des acteurs qui optimisent la présence des entreprises sur le web en concevant et en mettant en oeuvre des campagnes de communication et/ou de publicité en ligne.

Conception et gestion de projet

Métiers des acteurs chargés de la conception et/ou de la conduite de projets numériques.

Formation et assistance

Métiers des acteurs qui favorisent l’accès de tous aux services numériques.

Infrastructures et réseaux

Métiers des acteurs chargés de la conception, de la mise en oeuvre, de la gestion et de la maintenance des réseaux informatiques.

Interfaces et création numérique

Métiers des acteurs chargés de la conception et de la réalisation graphique d’interfaces web.

Production et gestion de contenu

Métiers des acteurs chargés de la recherche, de la production et de la gestion éditoriale des contenus (texte, image, vidéo, animation, etc.) sur le web.

Programmation et développement

Métiers des acteurs chargés de la conception technique et de la programmation de services web.

Du juriste spécialisé à l’infographiste, de l’acheteur d’espace publicitaire au développeur, du formateur au chargé de relation presse digitale, du technicien réseau au consultant en référencement web, etc.. le numérique offre une galerie de métiers d’avenir.

Il est passé le temps où une carrière se faisait dans une seule entreprise avec un seul métier. Il est plus que probable qu’un jeune d’aujourd’hui exerce plusieurs métiers et change d’employeur.

Les enjeux en matière de métiers sont l’identification des besoins des entreprises; l’orientation,pour trouver le métier qui correspond le mieux aujourd’hui à ses aptitudes, la formation, pour l’exercer avec les compétences et connaissances adéquates et la formation de formateurs pour délivrer aux jeunes les connaissances à jour.

Sur tous ces sujets, les chantiers sont vastes et demandent des politiques publiques et des initiatives privées en concertation avec les

Une autre voie que le salariat dans le numérique est de créer sa propre entreprise. Un chef d’entreprises a deux métiers : développer ses produits ou services pour répondre à un besoin soit existant, soit à créer et être un manager, un chef d’entreprise.

Créer sa startup, monter son entreprise est un vrai métier, un défi risqué et semé d’embûches.

L’entrepreunariat dans le numérique est porteur d’avenir, il faut savoir s’y faire accompagner et conseiller, trouver la bonne équipe, les bons partenaires et avant tout, des clients.

Philippe BATREAU

Bien (re)faire son site web

Bien (re)faire son site web
Article paru dans Emergence économique

Ce jour-là à Abidjan, dans un salon sur le numérique, le DSI de cette compagnie de tourisme échangea avec le manager de l’agence web à son stand. Le site web de son entreprise avait été fait il y a cinq ou six ans et avait besoin d’un vrai rafraîchissement. Le lendemain, l’équipe technique analysait qu’outre un design obsolète, l’absence de mise à jour, le site web avait besoin d’être mis aux normes de compatibilité pour les équipements mobiles et d’être optimisé techniquement pour mieux apparaître dans les résultats des moteurs de recherche.

A la réunion entre le client et les développeurs de l’agence fut définie l’ampleur du chantier de refonte du site. Le nouveau site web, à jour en matière d’ergonomie, de design, optimisé pour un meilleur référencement dans les moteurs, se fit en deux mois et permis au client de ne plus en avoir honte et de l’administrer lui-même avec login et mot de passe. Le prix d’excellence dans le tourisme que reçut la compagnie dans les mois qui suivirent n’aurait pu être attribué avec l’ancien site web, qui faisait fuir la clientèle au lieu d’inspirer confiance.

Cette histoire est vraie, c’est celle d’un de nos clients. Aujourd’hui, encore trop de sites web réalisés il y a quelques années sont obsolètes. Ce genre de site web, typiquement hébergé avec un abonnement bon marché sur un serveur trop chargé, a un design à faire fuir l’internaute et un temps de réponse qui permet d’aller se faire un café en attendant l’affichage de la page web. Un tel site web produit l’effet contraire de celui recherché.

Faire la différence sur Internet doit se faire dans le bon sens. Un site mal fait ou obsolète est contre-productif. L’absence de site web rime avec perte de clientèle au profit des concurrents qui sont entrés dans l’ère numérique. L’émergence numérique repose sur les bons choix des entreprises et déjà celui d’avoir un site web performant et efficient.

Si vous pensez que faire un site web coûte cher, pensez combien coûte l’absence de site ou un site mal fait, sur un serveur trop lent, des pages pleines de coquilles, au graphisme mal dégrossi. Nous en voyons encore trop sur la toile.

Après avoir bien choisi son nom de domaine, l’entreprise qui prend ses responsabilités doit savoir comment bien faire son site web.

Etre déchargé du cahier des charges

Souvent les entreprises entendent répondre qu’elles doivent envoyer un “cahier des charges” par l’agence qu’elle consulte pour faire leur site web. Quand enfin, un document rudement élaboré est fourni à l’agence, celle-ci répond par un devis.

Devant la difficulté de la tâche, une bonne partie des entreprises abandonnent leur projet.

Un bon site web commence par une bonne définition des besoins et cela passe par les conseils de professionnels expérimentés qui avec vous mettront au clair les fonctionnalités de votre futur site. Le cahier des charges porte trop bien son nom, optez pour une liste des fonctionnalités co-rédigées avec votre prestataire. Il vous proposera et construira un site sur mesure, adapté au secteur, à la cible, aux objectifs et aux fonctionnalités attendues.

Un site web sur mesure

Nous sommes votre couturier. Portez-vous l’habit de votre voisin ? Il en est de même pour les sites web. Chaque client est unique et doit recevoir le site web adapté à ses besoins, sa clientèle, son secteur. Un site web se fait sur mesure.

Des règles de bases

Des règles et normes doivent être respectées, tant sur le contenu du site que sur le graphisme, l’ergonomie, la compatibilité mobile.

Le contenu d’un site web doit a minima fournir les informations de contact, une page de mentions légales, la localisation de façon précise en cas de réception du public ou clients et une adresse postale.

Le graphisme doit être soigné, le contraste réglé pour une lecture confortable des textes par l’internaute, les images optimisées pour un chargement rapide, les balises optimisées pour le référencement. L’hébergement doit se faire sous HTTPS sans erreur sur le navigateur web. Il est recommandé de travailler des technologies reposant sur des standards libres et ouverts générant des données interopérables, bref en logiciel libre.

Dans certains cas, le pourcentage de visites sur smartphone et tablette avoisine les 100%. Le format des sites pour ordinateurs est différent des formats pour ces équipements nomades. Un site responsive est un site adapté à tous les formats d’affichage.

Le HTTPS, norme obligatoire

En août 2017 Google a commencé à écrire à l’ensemble des webmasters inscrits sur sa plateforme, dont Epistrophe, pour les prévenir que Chrome affichera à compter d’octobre 2017,  des alertes de sécurité les pages HTTP comportant des formulaires de saisie de texte comme non sécurisées. Il fera de même pour toutes les pages HTTP en mode navigation privée. En d’autres termes, les sites web qui restent dans un hébergement sans HTTPS – certificat de sécurité – seront signalés comme potentiellement dangereux sur le navigateur Internet le plus utilisé au monde. Ainsi, les sites sans HTTPS auront donc de moins en moins de visiteurs au profit de ceux qui auront su sécuriser leur site.

Du site vitrine au site de e-commerce

Ces règles de base respectées, le site web doit correspondre au vrai besoin du client.

Site vitrine, e-commerce, blog, site événementiel, chaque site a sa propre durée de fabrication, complexité et coût. L’entreprise doit trouver le site à sa mesure, ni trop peu, ni surdimensionné. La définition du contenu et des fonctionnalités du site web en définit le type et le budget.

Faire un site, c’est bien, le maintenir, c’est mieux. Pour les mises à jour techniques et de contenu, un contrat de webmastering peut être passé avec l’agence qui a réalisé le site web.

L’étape suivante consiste à faire connaître son site web, notamment dans les moteurs de recherche, les réseaux sociaux et aussi hors-ligne.

A suivre.

AYIYIKOH FABLAB, le carrefour de l’échange autour du numérique à Yopougon

AYIYIKOH FABLAB, le carrefour de l’échange autour du numérique à Yopougon

Les tiers-lieux ou espaces de coworking permettent des rencontres dans un cadre convivial et accessible, créateur de liens. Par extension, le terme de « tiers-lieux de travail » renvoie aux nouvelles alternatives d’espaces de travail. Celles-ci sont proposées à des professionnels de plus en plus mobiles, entre le domicile et le bureau traditionnel mais aussi à des jeunes intéressés par le métier de l’informatique et du numérique. La démocratisation et la massification des nouvelles technologies de l’information et de la communication a contribué à l’apparition de ces « tiers-lieux », quasi-inexistants il y cinq ans. Cette notion regroupe une ribambelle d’initiatives comme les espaces de coworking, les fablabs, les hackerspaces, les techshops… Tous remettent en question l’idée que l’on se dirige unilatéralement vers une organisation du travail de plus en plus dématérialisée, sans lieu fixe. C’est le cas de tiers lieu situé dans la plus grande commune du district d’Abidjan, Yopougon.

AYIYIKOH FABLAB est la résultante d’une communauté de jeunes ivoiriens décidés à résoudre les problèmes qu’ils rencontrent au quotidien. En unissant leurs compétences variées, ils ont mis en œuvre un des fondements de notre société, le Partage. Véritable mode de vie au sein du fablab, l’esprit de partage épouse l’utilisation des technologies libres et Open Source, fer de lance de leur créativité. Fier de leurs valeurs, AYIYIKOH FAB met en avant la transmission de la connaissance et organise des formations en administration des systèmes, en développement, sur l’Internet des Objets et sur la cartographie.

BEUGRE Loulou Alex Stéphane est le fondateur du fablab. Il partage avec nous sa vision, sa passion et ses ambitions pour le secteur numérique en Côte d’Ivoire.

Agé de 32 ans, il est ingénieur informaticien diplômé d’un Master des Sciences Fondamentales et Appliquées, Spécialité Génie Informatique obtenu à l’Université Nagui Abrogoua et promoteur du Logiciel Libre. C’est l’idée de pouvoir permettre aux jeunes diplômés de passer au stade pratique après formation avec une approche de partages des connaissances qui a suscité la création de ce fablab, où tous se retrouvent comme une famille. Avec de maigres moyens et sans soutien externe, ces jeunes offrent une nouvelle alternative aux porteurs des projets numériques en leur offrant un espace de co-création mais aussi de formation par l’apprentissage.

Les responsables de ce Fablab souhaitent obtenir une subvention de l’Etat afin de développer au mieux leurs activités et contribuer substantiellement à la lutte contre le chômage et la délinquance juvénile, pour faire référence aux jeunes qui s’adonnent à la cybercriminalité.

Ayiyikoh,  expression Godié, une langue de l’Ouest de la Côte d’Ivoire veut dire associons-nous, entraidons-nous ou rassemblons-nous, c’est ce principe qui les motive.

En savoir plus : http://www.ayiyikoh.org

Franck Olivier Konan

La Poste de Côte d’Ivoire devient le coursier officiel de la République

La Poste de Côte d’Ivoire devient le coursier officiel de la République

La Poste de Côte d’Ivoire veut se donner les moyens de redevenir un service utile et de proximité avec des produits attrayants pour les usages. Moyen de communication de premier choix, durant les décennies antérieures, les services postaux comme partout dans le monde, ont connu une certaine décroissance en raison de la forte mutation propulsée par les technologies de l’information et de la communication.

Porté à la tête de la Direction Générale de la Poste de Côte d’Ivoire, Isaac Gnamba Yao veut réussir une nouvelle transition pour la structure qu’il dirige en lui donnant un coup de neuf mais aussi et surtout en la plaçant au centre des besoins des usagers.

De  grandes réformes orientées vers des solutions numériques ont donc été engagées pour redynamiser la Poste de Côte d’Ivoire qui offre désormais de nouveaux services en plus de se positionner comme le coursier officiel de l’Etat de Côte d’Ivoire. 

Le plan de redressement opérationnel et financier de la poste a été adopté depuis 2013 et  prévoyait d’exécuter les grands chantiers suivants : l’assainissement de l’environnement institutionnel et réglementaire; le recrutement d’un opérateur en charge du service universel postal ; la mise en œuvre les diligences liées au réajustement des ressources humaines et la dynamisation de l’offre commerciale et enfin l’assainissement des finances. Autour donc de ces piliers, le plan stratégique est bâti autour du nouveau concept : La Poste, maison du citoyen et des entreprises, coursier de l’Etat a livré le Directeur général de la Poste de Côte d’Ivoire, Isaac Gnamba. Il s’agit de faire de la Poste l’opérateur des services aux citoyens avec un fort accent sur les produits et services autour de la logistique, les services financiers et le digital (e-commerce, Mobile Money, e-Services). Les activités traditionnelles sont en train d’être dynamisées avec une introduction du numérique. Le renforcement des capacités, la formation aux nouveaux métiers sont des priorités et des opportunités pour permettre au réseau postal de devenir le lieu de dénouement des transactions domestiques des populations.

La Poste de Côte d’Ivoire fait le pari de devenir le leader des services de proximité, et de contribuer ainsi à l’émergence de la Côte d’Ivoire. Grâce à un important réseau postal composé de plus de 197 agences, et une équipe dynamique, la Poste de Côte d’Ivoire est à même de remplir avec succès sa mission permettant ainsi à des personnes, qu’elles soient morales ou physiques de toujours rester en contact.

Le site de la Poste CI : https://www.laposte.ci.post/

Franck Olivier KONAN

Africa Web Festival 2017, le grand RDV du digital

Abidjan: Le plus grand rendez-vous du digital en Afrique s’ouvre ce 27 novembre autour de la Créativité, l’innovation et entrepreneuriat

Du 27 au 29 Novembre 2017, se tient dans la capitale économique ivoirienne  la 4ème édition de l’Africa Web festival. co-organisé par Univers Com, Madingo et Maison de l’Afrique Montréal, l’Africa Web Festival est devenu au fil des ans, l’événement incontournable sur le continent en matière de digital, d’innovation et d’entrepreneuriat africain.

Placée sur le signe de la créativité, de l’innovation et de l’entrepreneuriat, ce festival permettra aux participants qui sont entre autres des intervenants de renommée internationale, entrepreneurs, startupeurs d’Afrique et des grandes régions francophones du reste du monde, acteurs de la société civile, et aux partenaires institutionnels ainsi que le grand public de se rencontrer pendant ces 3 jours pour découvrir les tendances du numérique, nouer des relations d’affaires et réfléchir au ‘’mieux vivre ensemble’’ avec le concours des nouvelles technologies. Divers activités meubleront ce festival à savoir des conférences, panels, et jeux concours et hackathons lors de ce rendez-vous annuel des acteurs du web.

Plateforme d’échanges, de partages d’expériences et de connaissances, Africa Web Festival 2017 accordera une place importante à la formation et à l’information à travers des ateliers sur le marketing digital, le codage mais aussi au brassage culturel et professionnel des jeunes autour du digital. Cette édition devrait voir le lancement d’une initiative conjointe dénommée parcours du numérique.

Africa Web Festival 2017 en outre aux citoyens du cyberespace de nouer des contacts et de créer de nouveaux partenariats à travers un salon dédié au réseautage professionnel.

Pour en savoir plus : http://africawebfestival.com/

Franck-Olivier KONAN

Prix SPRINT Meilleur-e entrepreneur-e Green startup

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INCO, la Région Ile de France, le Disctrict d’Abidjan et l’Organisation Internationale de la Francophonie sont heureux de vous annoncer l’organisation du premier PRIX SPRINT (Startup Paris Region International) du(de) la meilleur(e) entrepreneur(euse) Green Ivoirien(ne) de l’année. SPRINT, le 1er Hub d’incubateurs et de startups Green Panafricain, répond aux aspirations d’une nouvelle génération d’entrepreneurs africains cherchant à concilier création de richesses économiques et impact environnemental positif.

Lors de la remise de Prix SPRINT, le 28 Novembre à 15h à l’Espace Latrille (Boulevard Latrille, carrefour Duncan – Deux-plateaux – Vallon
Cocody – 28 BP 792 Abidjan 28 Abidjan – Côte d’Ivoire), les 10 startups greens ivoiriennes les plus innovantes vous feront découvrir leurs challenges en tant qu’entrepreneurs et acteurs du changement vers une nouvelle économie durable et inclusive.

Venez nombreux assister à la remise de prix SPRINT et échangez avec les leaders de demain !

Abidjan accueille le Land of African Business du 1er au 3 décembre 2017

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Après le vif succès des Rencontres de Paris en 2016, c’est au tour d’Abidjan d’accueillir le Land of African Business du 1er au 3 décembre 2017.

Organisée à la CCI d’Abidjan, cette troisième édition des Rencontres du LAB a pour thème principal « Bancarisation, du cash à la banque ».

Des experts d’horizons professionnels et géographiques variés sont réunis à cette occasion pour un programme riche en tables rondes et ateliers.

A l’occasion de ces rencontres seront remis les trophées  des African Rethink Awards (ARA), organisés annuellement par le LAB. Quatre prix sont dispensés pour encourager et donner aux start-up lauréates une aide pour leur développement et une visibilité internationale. La compagnie aérienne Royal Air Maroc est le parrain du Grand Prix, le groupe Canal+ parraine le prix de l’entreprenariat féminin, le Prix de la Meilleure Start Up Ivoirienne est décerné par la BRVM (Bourse Régionale des Valeurs Mobilières) et le Prix AgriTech est parrainé par la Société Générale.

A propos du LAB :

Fondé en 2014 par Eric Bazin, le Land of African Business est un cercle de réflexion consacré aux « Afriques ». Il a acquis, grâce à la première édition des ses Rencontres lors de la COP21 à Paris, une forte reconnaissance sur la scène internationale. Il associe expertises de haut niveau et solutions novatrices afin d’identifier concrètement les leviers de développement inclusif du continent africain. Il a pour principaux objectifs d’animer la vie des idées, de produire de l’expertise pour guider la vision à long terme des acteurs
africains de demain, de valoriser les initiatives innovantes et favoriser le partage de bonnes pratiques, d’enrichir les réseaux d’influence, et de faciliter la collaboration entre sphères publiques et privées.

Informations et inscriptions :

Page d’accueil