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VOICI LES CLÉS POUR BIEN SE FAIRE CONNAÎTRE SUR INTERNET

Après les trois premières tribunes animées dans le cadre de la rubrique émergence numérique, le Manager d’Epistrophe Côte d’Ivoire, dans cet entretien, lève un coin de voile sur les astuces et bestpractices pour mieux se faire repérer rapidement sur le web.

Que doivent retenir les lecteurs des trois premières tribunes que vous avez animées dans le cadre de cette nouvelle rubrique?

En commençant cette rubrique, Emergence numérique, notre objectif était et reste d’aider le professionnel, l’entrepreneur, à “Faire la différence sur Internet”. Comme tout commercial ou marketeur le sait, faire la différence est nécessaire pour attirer le client, le lecteur, l’internaute à préférer nos biens et/ou services à ceux des concurrents. “Bien choisir son nom de domaine” et “bien faire ou refaire son site web”, les épisodes précédents de ce feuilleton, en sont des étapes. Nous espérons vous avoir éclairé sur ces sujets. Il reste, après ces premiers pas, à se faire repérer sur le web, à se faire connaître sur Internet, c’est le dernier volet de cette approche généraliste de la présence de l’entrepreneur sur Internet. Les articles précédents sont accessibles sur le site d’Age Numérique, rubrique Emergence numérique : https://agenumerique.ci

Comment attirer l’attention du public ciblé ?

L’élément le plus précieux du web est immatériel et pourtant bien concret : l’attention de l’internaute, du lecteur, du futur client. A l’heure de la surabondance de l’information, des nombreuses offres de biens et services, capter l’attention est devenu l’enjeu central. La quantité d’informations pertinentes est supérieure à la capacité d’attention de la cible. Ce phénomène est encore plus vrai sur Internet où le temps est compté et la navigation encore coûteuse ici. Ainsi faut-il voir apparaître son site web dans les premiers résultats de recherche d’un moteur comme Google car l’internaute s’arrête là sans aller plus loin. Le fruit de la captation de l’attention, c’est la notoriété. Si le terme “référencement” est encore utilisé par commodité de langage, en matière de visibilité sur internet il est désormais question d’optimisation ou marketing des résultats des moteurs de recherche ou d’optimisation des médias sociaux – SEO, SEM, SMO en anglais – ou encore de webmarketing, marketing personnel – personal branding en anglais. L’enjeu est double en matière de visibilité : se faire repérer par des internautes qui effectuent une recherche correspondant à l’activité et bien apparaître lorsque la recherche concerne sa propre raison sociale, marque ou nom.

Quels sont les critères techniques pour réussir cette «opération-séduction » sur le web ?

Les internautes arrivent sur un site web de trois façons : résultats de moteur de recherche, liens à partir d’autres sites, accès direct. Pour apparaître en tête des résultats de recherche d’un moteur comme Google ou Qwant – le moteur européen qui monte et arrive en Afrique – un site web doit répondre à certains critères. Même si l’algorithme des moteurs de recherche est un secret jalousement gardé, quelques règles de base s’imposent. Quelques éléments techniques sur l’hébergement du site entrent en ligne de compte. En premier lieu, il est clair qu’aujourd’hui les sites bénéficiant d’un certificat de sécurité, un HTTPS s’affichant en vert dans Google Chrome ou Firefox, sont privilégiés. Google a clairement annoncé qu’il prend désormais en compte cet élément et affiche des avertissements de sécurité sur les sites qui resteront en simple HTTP. En second lieu, la vitesse de chargement des pages du site est un critère de positionnement dans les résultats. Elle s’optimise avec un hébergement de qualité, des images adaptées au web et du code de qualité. Les moteurs de recherche pénalisent les sites trop lents. Enfin, un format “responsive”, adapté aux équipements mobiles tels que les tablettes ou smartphones achève d’optimiser techniquement le site web pour sa position dans les résultats. Confier son site web et hébergement à un professionnel averti est la règle pour satisfaire à ces critères techniques. Le contenu du site web est l’élément qui va faire correspondre la requête de recherche de l’internaute à l’affichage dans les résultats. Pour que les pages du site web s’affichent dans les résultats, il importe qu’elles comprennent les expressions recherchées par les internautes. Il est souvent tentant de vouloir créer son contenu avec ses propres expressions, sa propre présentation, encore faut-il que ce contenu corresponde aux expressions de recherche des internautes. Cette règle de base est trop souvent oubliée.

Quels conseils pouvez-vous donner aux professionnels pour optimiser leur présence sur internet et les médias sociaux ?

Si l’optimisation technique et éditoriale est nécessaire, il en faut plus pour optimiser sa présence sur internet et s’y faire connaître. Cela passe par une politique de “liens entrants”. La popularité d’un site, critère déterminant dans le positionnement, se mesure par le nombre de liens obtenu sur d’autres sites web. Un article de presse ou blog, un site de client, partenaire ou fournisseur, les sites des membres de l’association ou organisation, sont tous des occasions d’obtenir un lien vers son propre site web. La
“chasse aux liens” doit être raisonnable car Google a substitué au “pagerank”, ne prenant en compte que le nombre de liens, le “trustrank” qui s’attache à la qualité et la notoriété du site faisant des liens. Une démarche trop zélée est contreproductive. Les réseaux sociaux sont aujourd’hui incontournables dans la mise en place d’une stratégie de “référencement” ou visibilité sur Internet. Le «Référencement social» ou optimisation des médias sociaux (Smo en anglais), consiste à faire gagner en visibilité par la présence et la publication périodique de contenus – texte, photo, vidéo – sur les réseaux sociaux. Facebook, Twitter, Google +, Instagram, Flickr, Youtube, … sont aujourd’hui des outils à utiliser dans toute politique de visibilité, chacun avec ses spécificités. Il est aujourd’hui clairement démontré que l’usage des réseaux favorise le référencement, le positionnement du site web dans les résultats des moteurs de recherche. Au-delà de cette raison purement technique, le référencement social est l’occasion de créer, d’entretenir une relation privilégiée avec sa clientèle. Créer la communauté de ses clients permet de communiquer directement avec eux et d’en faire des ambassadeurs qui partagent les contenus de l’entreprise, de la marque. La politique de référencement social participe à entretenir l’image de marque de la société. Dans le même esprit, le personal branding ou marketing personnel est un moyen qui consiste à développer sa marque personnelle, son image personnelle. Elle est pertinente dans le cadre de son propre parcours professionnel en donnant de la visibilité à ses propres écrits ou participation à des événements professionnels. Le dirigeant par le biais de son personal branding valorise aussi l’image de son entreprise. Une stratégie de visibilité s’élabore avec des professionnels qui savent conseiller l’entreprise au vu de ses moyens, son contexte, son environnement sectoriel, sa cible.

AFRICAN STARTUP FORUM EST UN LABEL D’EXCELLENCE POUR LA DÉTECTION ET LA CERTIFICATION DES MEILLEURES STARTUPS

‘‘L’ASF EST UN LABEL D’EXCELLENCE POUR LA DÉTECTION ET LA CERTIFICATION DES MEILLEURES STARTUPS’’

L’African Start-up Forum, est une plateforme de mise en lumière et d’accompagnement des start-ups. Dans cette entrevue, son promoteur, un pur produit académique et professionnel 100% ivoirien expose les motivations de cette initiative.

Qu’est ce qui vous a motivé à créer l’African Start-Up Forum, et à qui s’adresse ce grand rendez-vous de l’entrepreneuriat ?

L’African Start-up Forum (Asf) est le Forum Économique des Startups Africaines qui s’adresse s’adresse à toute personne qui souhaite créer et développer des idées novatrices, technologies ou services, innovants, valorisants, pour apporter des valeurs ajoutées, faire faire un saut qualitatif à l’humanité et surtout à l’Afrique. Cette plateforme vise à promouvoir l’innovation, la créativité et les économies nouvelles et créer de réelles synergies entre les entreprises et les jeunes pousses innovantes, à permettre la rencontre entre l’ensemble des acteurs de l’écosystème des startups, notamment les porteurs de projets, les incubateurs est une autre raison. L’enjeu est de contribuer à la transformation structurelle des économies africaines et d’absorber au moins 30 % des 11 millions de demandeurs d’emploi que connaît l’Afrique chaque année.

Pourquoi une deuxième edition de l’ASF encore à Abidjan?

Abidjan représente la capitale ouest africaine du moteur de l’intégration régionale dans la CEDEAO et l’UEMOA. Paradoxalement, la Côte d’Ivoire offre également un théâtre d’opération pratique avec une population très jeune au chômage d’une importance trop au-delà des taux minima exigés pour un pays à forte croissance. Au vu de cette sociologie partagée avec plus de 60 % des pays africains, il nous est apparu nécessaire de commencer et de consolider l’ASF à Abidjan et d’en faire un pilote à l’effet de permettre à toute l’Afrique d’en tirer le maximum de retour d’expérience quant aux ingénieries qui naîtront de ce forum, pour faire apparaître le rôle important des startups dans le développement économique et social de nos pays.

Quel impact a votre forum sur l’écosystème entrepreneurial ivoirien ?

Les startups africaines membres de notre réseau ont décidé de fédérer leurs forces et actions pour créer cet important espace de collaboration, cette grande plateforme et donner ainsi une direction à l’écosystème des startups en Afrique. L’engouement suscité autour du forum via notre plateforme www.africanstartupforum.com ou www.asf.
africa en 2016 et aujourd’hui en 2017 avec plus de 1 000 jeunes pousses préinscrites dans 15 secteurs d’activités, 250 startups en exhibition et participant au Prix de la meilleure startup africaine 2017, permet d’apprécier notre impact sur l’écosystème ivoirien et du continent. Mieux, l’ASF se positionne comme le label de certification de startups à travers sa méthode original et scientifique de détection des meilleurs profils de startups de qualité. Nos startups ont été retenues comme faisant partie des meilleures dans plusieurs programmes prestigieux d’accélération et de concours dans le monde. L’ASF est membre de la French Tech Abidjan et a pour partenaire institutionnel, l’ambassade des USA à travers son centre d’accompagnement des entrepreneurs locaux. L’ASF met à la disposition des startups de son réseau, un centre incubateur et un espace de coworking dans ses locaux pour le renforcement des capacités. L’ASF donne des formations certifiantes pour permettre aux porteurs de projet d’avoir les acquis techniques financier et managériaux nécessaires à la bonne gestion de leurs startups.

Quelles sont les difficultés que rencontrent les jeunes africains pour créer et perenniser leur start-up, et comment l’Asf compte t-il pallier ces difficultés?

De nombreux jeunes en Afrique et de plus en plus en Côte d’Ivoire sont obnubilés par la création de leurs entreprises, même si, la plupart d’entre eux dans un 1er temps souhaitent d’abord avoir un emploi, parce que formaté académiquement pour trouver un emploi en fin de formation ou après avoir arrêté leurs études. La première des difficultés est le déficit de réglementation et de législation. Les startups africaines pour la plupart ne sont pas protégées par la loi. Elles n’ont aucun statut. En outre, il y a un déficit structurel qui ne permet pas aux startups de mettre en place de pertinentes stratégies en vue de négocier et bénéficier mesures décisionnelles pour bien s’établir et obtenir des parts de marché, nécessaires et primordiales à leur développement, auprès des grandes entreprises et des Etats, pour en faire des entreprises seniors solides. Les structures d’accompagnement existent très peu et les quelques unes qui font l’effort, n’ont pas d’expertises, de moyens, de cadre structurel, ni de financement adaptés aux besoins des créateurs de startups. Notre mission à l’ASF est donc d’apporter notre expertise et notre connaissance du secteur de la création et de la vie des startups africaines pour essayer de pallier ces vides structurels et encadrer, protéger véritablement les startups africaines afin d’en faire des interlocuteurs crédibles.


Les pouvoirs publics doivent externaliser les prestations à réaliser parce qu’ils ne connaissent pas le métier et ne savent pour qui et pourquoi faire ?

L’ASF se présente comme le point d’ancrage et le partenaire capable de rassurer les Investisseurs, Banques, Business Angels, partenaires techniques nationaux et internationaux à travers un mécanisme scientifique d’identification et de mise à la découverte, à travers son réseau de startups.

Avez-vous quelques exemples de belles réussites de startup à nous partager ?

L’histoire assez intéressante de la startup Atrè Marché qui est un service en ligne de vente et de distribution de produits vivriers à domicile, au bureau, au restaurant, à l’hôtel. Elle bénéficie d’un mentoring d’un mentor de la French Tech Abidjan et monte en puissance parce qu’elle réalise des performances depuis sa découverte. La startup HAKILY qui se propose de soigner les enfants victimes d’autisme et de déficience intellectuelle, qu’on appelle encore retard mental. Après sa participation à l’ASF 2016, il construit son 1er laboratoire de production des médicaments
concernés.

Le numérique, internet, les TIC attirent-ils les jeunes ? Quels sont les sujets qui les intéressent en ce moment ?

Énormément de jeunes sont attirés par le numérique . Cette donne prend une dimension importante, ne serait ce que pour réaliser des pans du développement de leur entreprise ou pour s’informer et se former. Le numérique devient incontournable, tant comme outil de création et de gestion de startups, que comme matière de création de jeunes entreprises mais aussi de formation de base, d’amélioration de la santé et des conditions de vie. Les sujets les plus attractifs pour le numérique sont la formation, l’information, la communication, le transport, les finances, les transferts d’argent, la distribution et la vente en ligne (e-commerce), le développement d’applications, l’éducation, la santé, le cinéma, la musique, la création de site internet, le codage informatique, et de plus en plus la robotique et l’intelligence artificielle.

L’Afrique numérique se développe-t-elle aussi vite qu’on le dit dans les médias ? Et comment voyez-vous l’engouement actuel de la France pour l’Afrique numérique ?

L’Afrique numérique se développe à un rythme quasi non maîtrisé. Un africain détient en moyenne et au minimum 2 cartes SIM, et deux téléphones mobiles, qui lui sont d’une utilité même si cela paraît de prime abord superflu. Et cela permet au plus grand nombre d’avoir accès à Internet et aux services et produits dérivés du numérique, même si la proportion d’utilisateurs demeure encore très faible. Le coût de la connexion internet, du numérique et de l’acquisition d’équipement demeurent encore trop élevés en rapport avec la part des utilisateurs qui reste encore à un niveau de pouvoir d’achat et d’accès trop faible. L’engouement de la France pour l’Afrique numérique, reste encore
timide. La French-Tech et l’ASF ont décidé de travailler d’arrache pieds pour permettre à l’écosystème entrepreneurial français d’organiser et de mieux développer le numérique à travers notre implication dans de nombreuses activités du numérique à Abidjan et en Afrique. D’importantes entreprises françaises, sont des structures pionnières des actions françaises pour l’Afrique numérique. Cependant beaucoup reste à faire, notamment à travers des projets opérationnels concrets sur le marché ivoirien du numérique. L’un des objectifs de l’ASF, est d’œuvrer à aider à la mise en place d’actions pragmatiques, d’influence, de réseautage, de mécanismes et de discussions avec l’ensemble des acteurs pour favoriser l’amélioration des coûts de mise à disposition du numérique et ainsi permettre à celui-ci d’effectivement impacter sur le quotidien des nombreux jeunes parce que le numérique peut casser de nombreuses barrières et booster le développement socioéconomique.

AFRICARENA, faire connaître les talents africains

La première édition de AfricArena, en 2017, a tenu ses promesses.

Destinée à créer des liens et des opportunités entre startups, investisseurs et entreprises établies aussi entre le continent africain et le reste du monde, AFRICARENA est une plateforme accessible à tous les acteurs du monde de la technologie et un pont entre les continents.

Sous forme de conférence, elle présente les meilleurs startups et innovateurs d’Afrique devant un public d’investisseurs locaux et internationaux à la recherche de talents de classe mondiale.

Pour 2018, Africarena visite plusieurs villes d’Afrique pour trouver les meilleurs talents locaux. Les plus grandes start-up auront l’occasion de proposer des solutions aux défis de la conférence AfricArena devant un public d’investisseurs locaux et internationaux à la recherche de talents de classe mondiale appelé AFRICARENATOUR (Tour Challenges).

La présélection du Tour Challenges aura lieu à Maurice, à la Réunion, à Nairobi, à Casablanca, à Lagos, à Dakar et à Johannesburg.

Après avoir sillonné la turbine incubator ( Maurice ) & village by CA ( St Denis) les 2 et 3 mai 2018. Le cap est à nouveau lancé sur:

  • Vivatech : 24-26 May, Paris on Africatech on Viva technologies
  • AfricArena Investor event New York (investor pitching only – no challenge) : 29 May, French Consulate NYC
  • Paris (investor pitching only – no challenge) : 1 June, BPI Hub
  • Nairobi : 13 Juin – venue to be confirmed (possibly MEST)
  • Casablanca : 4 Juillet – venue to be confirmed
  • Tunis : 5 Juillet – event & venue to be confirmed
  • Lagos : 18 Juillet – venue to be confirmed
  • Dakar : 19 September – venue to be confirmed
  • Main event: 15 & 16 November, Century City Convention Center, Cape Town

Les gagnants de chaque destination seront présélectionnés pour être déployés au Cap pour la dernière ronde d’emplacements.

Rappelons que la première édition a eu lieu en 2017 et représentait une opportunité d’explorer les tendances de demain tout en libérant certaines des meilleures startups et innovateurs du continent. L’événement a réuni des personnalités clés de l’écosystème d’innovation technologique international et africain dans le but de promouvoir l’excellence de la technologie africaine. AfricArena 2017 a vu plus de 450 participants regarder plus de 40 conférenciers et assister à des transactions de plus de 2 millions de dollars. La conférence de deux jours a réuni plus de 80 des meilleures startups d’Afrique avec plus de 100 investisseurs du monde entier, offrant ainsi une opportunité unique de mettre réellement en valeur les talents de l’innovation en Afrique.

 

Cliquez pour en savoir plus: ICI

AFRICA IT & TELECOM FORUM 2018, quand l’administration se met au numérique

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Inaugurée par Monsieur Bruno Nabagne Koné, Ministre de la Communication, de l’Économie Numérique et de la Poste de Côte d’Ivoire, la huitième édition de l’AFRICA IT & TELECOM FORUM a ouvert ses portes les 19 et 20 avril 2018 au Radisson Blu (Abidjan) autour du thème L’administration à l’ère des bouleversements numériques.

 

Bruno KONE, s’est dit heureux de la tenue d’un tel événement en terre ivoirienne. Il a par ailleurs profité de l’occasion pour dresser le bilan de l’aménagement et du déploiement numérique en Côte d’Ivoire.

L’événement a enregistré la participation de plusieurs centaines de pays dont le Gabon était le pays invité d’honneur.

   

Cette huitième édition a permis aux participants de découvrir le potentiel des dernières tendances technologiques et participer à un débat sur les enjeux de la digitalisation pour les opérateurs télécoms et agences de régulation.

Au cours de ces deux jours, un débat ministériel, des séances plénières, des sessions d’innovations, des visionary keynote et des foreword ont rythmés ces 48h.

Il ressort de ces échanges, l’importance de l’utilisation des outils numériques pour les administrations, tout en étant vigilant sur la sécurisation des données.

Environnement Startup 2018 – La caravane nationale d’appel à projet.

Prochaine étape, Bouaké, les 11 et 12 Avril 2018.

Incub’ivoir, incubateur d’entreprise, qui a pour vocation le coaching et l’accompagnement des startups, a initié depuis 2017 la caravane nationale d’appel à projets qui est un programme d’incubation.

 

Danané, Bouaké, Bondoukou, Korhogo et Grand Bassam c’est le circuit de la caravane pour l’édition 2018. La ville de Danané a déjà tenue ses promesses les 22 et 24 février 2018. Bouaké, est l’étape de cette tournée les 11 et 12 avril, respectivement au foyer des jeunes de “koko” et au palais du carnaval.

  

 

Incub’Ivoir à travers cet événement « Environnement Startup » entend déceler des talents et promouvoir l’excellence au travers de leurs différents projets pour en faire des champions nationaux. Près de 1000 jeunes bénéficieront de formation, de coaching et surtout d’un retour d’expérience de plusieurs professionnels de l’entrepreneuriat tout au long de cette caravane.

Cet incubateur  a aussi pour vocation d’entretenir les startups et les entrepreneurs, de bâtir les champions de l’économie ivoirienne et de leur permettre de connaître l’ensemble des contours de l’écosystème entrepreneurial en Côte d’Ivoire. Il vise également à promouvoir et à participer à la dynamique du développement d’une Afrique décomplexée.

 

Les objectifs de cette caravane sont :

  • Sensibiliser les porteurs de projets et les startups à travers les différents mécanismes  d’accompagnement et de suivi pour les booster.
  • Accompagner des collectivités locales pour bâtir autour des startups leurs pôles de compétitivité
  • Valoriser les jeunes entrepreneurs africains en général et ivoiriens en particulier dans notre réseau.
  • Inciter à la coopération sud-sud et à profiter du marché commun existant.
  • Encadrer et aider des startups et porteurs de projets jusqu’à la réalisation de leurs projets.
  • Encourager et valoir l’expertise des jeunes porteurs de projets dans le domaine de l’entrepreneuriat
  • Enfin, redonner du rêve à notre jeunesse et de les amener à matérialiser leur envie de création et d’innovation.

Après l’étape de Bouaké, Bondoukou sera la prochaine destination les 15 et 16 mai 2018.

Bond’innov : Appel à candidatures 2018 – French Tech Visa

Prêt à développer une stratégie efficace pour booster votre start-up en France et / ou vers l’Afrique ?

Rejoins Bond’innov et booste ta start-up !

Vous portez un projet d’innovation (technologique ou pas) avec un impact (économique, social, environnemental)en France et/ou en Afrique ?

Vous êtes en début de parcours entrepreneurial (entreprise créée ou pas encore) ?

Vous avez un projet avec un potentiel de développement et d’emploi en France et/ou en Afrique ?

Vous êtes basé en Ile-de-France ou à l’international ?

Déposez votre candidature pour intégrer Bond’innov avant le 11 mai 2018
N’attendez plus : Startup-Candidature

A l’occasion de ce 16ème Appel à projet, les entrepreneurs étrangers peuvent bénéficier du programme French Tech Visa.

Vous souhaitez bénéficier du dispositif en intégrant Bond’inov ?
Cochez la case « French Tech Visa » en candidatant à l’appel à projets !

S’inscrire à French Tech Visa pour les fondateurs: Cliquez sur le lien

Africa IT & Télécom Forum 2018

« L’administration à l’ère des bouleversements numériques » est le thème de édition 2018 de l’Africa IT & Télécom Forum.

L’accélération des tendances digitales s’impose comme un véritable levier de modernisation des économies africaines. L’administration publique est le cœur battant des Etats afin de répondre aux attentes des citoyens et améliorer le niveau de vie des populations.

L’Africa IT & Télécom Forum, qui se tiendra les 19 et 20 Avril prochains au Radisson Blu Abidjan, en partenariat officiel avec l’ANSUT (Agence Nationale du Service Universel-TIC en Côte d’ivoire), est la plateforme idéale pour accompagner la dynamique de développement d’une économie numérique et accélérer ainsi la transformation de l’Afrique vers le monde digital.

Organisé par I-Conférences leader dans l’organisation de forums B2B en Afrique du Nord du Centre et de l’Ouest visant à promouvoir le partenariat sud-sud et favoriser l’investissement et le développement de secteurs stratégiques. Cette société basée à Casablanca créée en 2004, a à son actif plus de 100 forums spécialisés dans le domaine de la santé, l’agriculture, les TIC, la banque, la poste, les infrastructures etc…

L’édition 2018 de L’Africa IT & Télécom Forum sera inaugurée par Monsieur Bruno Nabagne Koné, Ministre de la Communication, de l’Économie Numérique et de la Poste de Côte d’Ivoire, en présence de plus de 10 Ministres africains représentant le Maroc, Gabon, Burkina Faso, Sénégal, République Centrafricaine, Congo Kinshasa, Congo Brazzaville. Ce forum de deux journées connaîtra la participation de pas moins de 400 acteurs publics et privés du secteur des TIC en provenance d’une trentaine de pays de l’Afrique de l’Ouest, Centrale et du Nord.

Age Numérique, partenaire média vous invite à prendre part à cette conférence.

Africa IT & Télécom Forum est une occasion d’échanger autour de thématiques majeurs liées à l’urgence d’accélérer la modernisation de l’administration, à l’instauration d’une culture numérique, aux approches et mécanismes innovants en termes de financement des stratégies numériques, aux enjeux de la digitalisation pour les opérateurs télécoms et agences de régulation ainsi qu’aux défis et enjeux liés à la cyber-sécurité.

Gabon, Pays Invité d’honneur de la 8ème édition

En reconnaissance du rôle avant-gardiste du gouvernement gabonais en matière des TIC, le comité scientifique de l’Africa IT & Télécom Forum 2018 a désigné le Gabon pays invité d’honneur de cette 8ème édition. Une importante délégation gabonaise représentant l’administration publique et le secteur public est ainsi attendue afin de partager avec les 30 pays représentés les avancées du plan « Gabon Numérique » et la vision stratégique du Gabon pour le développement de la numérisation de l’administration et des services publics.

Pour plus de détails: I-Conférences

Big Planète, le big réseau du monde francophone

Quand la transformation digitale crée un nouveau portail.

A l’heure où les réseaux sociaux ont aboli le temps et l’espace, plus que jamais et encore plus demain qu’aujourd’hui, l’information demeure le fluide vital des uns et des autres.

Faciliter le partage d’informations à tous les francophones est ce qui a poussé à la création de ce nouveau média dont le lancement officiel est prévu ce mercredi 14 Mars 2018.

A la différence des autres réseaux sociaux, tel YouTube, Facebook, Linkedin, Big Planète, ce réseau social dédié aux pays Francophones et pour les Francophones vient dans l’idée d’ouvrir totalement le partage d’informations pour que tout le monde puisse en profiter et d’échanger de façon libre sans avoir recours aux demandes et à la mise en relation.

Contrairement aux autres déjà connus, les publications et échanges seront hyper facile, les informations seront dirigées en fonction des choix et des centres d’intérêts. Pour ce faire, il suffira avec Bip planète de partager uniquement les liens URL de l’information à diffuser ce qui permettra d’afficher l’intégralité de l’information (titre, description, contenu et  même mots clés).

Avec Big Planète c’est plus de 150000 villes répertoriées ce qui facilitera la création de communautés.

http://bigplanete.com/ pour plus de relation du monde francophone.

AMRUGE: Appel à projets innovants

      Le programme d’ Appui à la Modernisation et à la Réforme des Universités et Grandes Écoles en abrégé AMRUGE est un programme financé dans le cadre du Contrat de Désendettement et de Développement (C2D) entre la Côte d’Ivoire et la France.

Ce programme vise à accompagner 16 projets ivoiriens dans leur aventure de création d’entreprises, en détectant, accompagnant et soutenant les meilleurs projets innovants portés en particulier par des entrepreneurs ressortissants de Côte d’Ivoire et résidant en Côte d’Ivoire ou en France, qui souhaitent créer une activité entrepreneuriale innovante en Côte d’Ivoire.

Ces projets d’entreprises doivent être à fort caractère technologique ou porteurs de solutions innovantes à impact sociétal et/ou environnemental positif pour la Côte d’Ivoire.

Ainsi donc, le package des gagnants comprendra notamment :

1) Un financement pouvant atteindre 15 000€ par projet pour couvrir :

  • Des prestations de services,
  • Du renforcement de capacités,
  • Des frais d’études,

2) Un accompagnement pendant 12 mois au sein de l’un des incubateurs partenaires (en France et en Côte d’Ivoire), avec une évaluation à mi-parcours à 6 mois avec :

  • Un parcours d’accompagnement individuel par un chargé d’accompagnement expérimenté,
  • Un programme d’accompagnement collectif de l’ensemble des lauréats de la promotion,

L’appel à candidatures est ouvert jusqu’au 16 mars 2018.

Condition d’éligibilité :

1- Vous avez un projet ante-création d’entreprise, ou en phase de création.

Les statuts de l’entreprise ne doivent pas être déposés au moment de la sélection ou l’entreprise ne doit pas avoir plus de 6 mois d’existence légale.

2- Vous avez un  projet mature au niveau technologique et scientifique :

La preuve du concept ou le prototype sont finalisés ou en cours de finalisation.

3- Vous remplissez toutes les conditions d’éligibilités suivantes :

Etre ressortissant de la République de Côte d’Ivoire résidant soit en CI soit en France.

L’entreprise ne doit pas encore générer un premier chiffre d’affaires ni être une filiale / franchise d’une entreprise existante. Avoir comme objectif d’implanter la future start-up en Côte d’Ivoire.

Téléchargez le guide du candidat: ICI

Téléchargez le formulaire de candidature: ICI

Ou remplissez directement votre dossier sur le lien suivant : ICI

 

NB : Ce programme s’adresse prioritairement à des étudiants, doctorants, chercheurs, ingénieurs, mais aussi à des inventeurs, ou innovateurs ressortissants de Côte d’Ivoire et résidant en Côte d’Ivoire ou en France, qui souhaitent créer une activité entrepreneuriale innovante en Côte d’Ivoire.